Remarques | À son mariage, Marguerite Richard apporte 1000 livres sur la valeur de la maison située sur la rue Guérin Boisseau héritée de sa mère, le reste lui reste en propre. Nicolas, son père doit être décédé en 1638 ; le 29 septembre, François, son grand-père agit comme tuteur de sa petite-fille mineure. Il renonce à la succession de Nicolas, parce qu’elle serait « plus onnéreuse que profitable ». Jeanne Bonnet, sa mère, d. en 1633. Son inventaire après décès est fait le 17 octobre 1633 devant le notaire Martin Tabouret. On y apprend que Marguerite avait un frère, François, mineur comme elle lors du décès de leur mère. Ses grands-parents paternels sont Pacquin et Jehane Dupille, cités dans le contrat de mariage de la tante de Marguerite, également appelée Marguerite, avec Léon Tarisien, passé devant le notaire Denis Camuset, le 24 février 1633. Ses grands-parents maternels sont François, inh. le 19-01-1649 à St-Nicolas-des-Champs (Paris) (environ 90 ans), maître patenôtrier en émail et marchand verrier, demeurant rue Guérin Boisseau, et Catherine Hennet, inh. le 28 octobre 1624 à Saint Nicolas des Champs (Paris) (environ 59 ans). dont enfants b. 1588 et 1590.( Fonds Laborde )
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